1 - Un soutien local et adapté

... c'est d'abord un contact direct, des liens d'amitié, des rencontres avec les enseignants, les pères et mères, le Chef et les Anciens, la possibilité de consulter tous les acteurs et de faire naître des solutions adaptées et durables à mettre ensemble en œuvre.



2 - Des projets d'écoles : Agir pour l'enfant, c'est agir aussi sur son entourage.

... c'est donner les moyens de trouver des ressources avec les micro-projets.

Au Burkina Faso, aller à l'école est un miracle permanent. L'école doit être accessible.
De nombreux facteurs handicapent la scolarité : pauvreté (insatisfaction des besoins primaires), mauvaise perception de l'importance de l'école par les parents analphabètes, maintien du garçon à l'école au détriment de la fille …
Nos micro-projets s'inscrivent dans une volonté d'auto financement des écoles, donc pérennes, et sont garantis dans le temps.



Les projets de l'école sont aussi ceux de tout le village et se discutent sous l'arbre à palabres, manguier ou karité, ou bien dans une classe, d'où l'on aperçoit les frimousses curieuses aux fenêtres.

L'intérêt est triple : implication des parents, donc incitation à scolariser les enfants, tendre à la gratuité de l'école, apprentissages, diffusion dans les villages de nouvelles techniques.


3 - Intervenir dans de multiples domaines

... c'est une approche globale de l'enfant dans son environnement au plus large sens du terme.

Les objectifs MAS passent par l'éducation, la santé, la formation, l'environnement, ...

Les élèves ont besoin de fournitures, ils doivent pouvoir manger, être soignés, les parents ne pouvant payer , l'association aide la mise en place de projets utiles, réalisables, adaptés et pérennes.



Toutes les actions de l'association ne seraient pas possible sans l'implication des enfants, de leurs parents, des villageois, des enseignants ni sans la présence des acteurs locaux, des membres de l'association, des partenaires.



L'aide se limite au nécessaire, en aucun cas il ne faut créer des besoins.